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Immobilier sur le net: prix et ventes

Catégorie : Immobilier

Quel type d’appartements les i marocains achètent-ils de préférence? De quelle surface? Dans quelle ville? Et à quel prix? Une étude  apporte des éléments de réponse.

Site d’annonces en ligne et véritable marché pour la vente et l’achat de biens immobiliers au Maroc (pas moins d’1,35 million m², soit 5,5 fois la surface du Morocco Mall),  un site des annonce vient de réaliser une étude sur le marché immobilier et ses principales tendances.

Les conclusions de cette étude, effectuée sur la base des annonces immobilière  déposées sur le site, ont été présentées ce mardi 17 décembre à Casablanca.

Il en ressort que les biens comprenant 3 chambres sont de loin les plus fréquemment mis en vente avec actuellement plus de 23.000 annonces sur le portail. Ils représentent plus de 47% de la valeur totale des appartements mis en vente. Viennent ensuite les appartements avec deux chambres (18,5%) et quatre chambres (17%). En queue de peloton, les studios sont les moins disponibles à la vente avec 564 annonces (1,14%).

«Notre étude indique, par exemple, qu’il y a 13% de plus d’appartements de 40 à 60m² à Casablanca que ce que le marché casablancais demande. A contrario, il y a une offre infèrieure de l’ordre de 6% pour les appartements de 60 à 100m² », précise Badr Bouslikhane, Business Development Manager de l’entreprise au Maroc.

 

  •  Les prix à la baisse

Comparés à la moyenne des prix du m² au niveau national, les appartements de haut standing à Rabat sont plus chers de 30%, tandis que les appartements économiques sont moins chers de 11% (la demande pour ce type de biens restant faible).

A Casablanca, le prix au m² des appartements de haut standing dépasse de 21% la moyenne marocaine et de 9% pour les logements économiques. Inversement, à Tanger les prix au m² des biens de haut standing ou des appartements économiques sont inférieurs à la moyenne nationale, respectivement de 9% et 12%.

Que ce soit à Rabat, Casablanca ou Marrakech, il n’y a pas eu d’augmentation significative des prix, la valeur de certains biens pouvant même baisser à long terme, notamment pour les logements disponibles en trop grand nombre sur le marché.