une crise immobilière marocaine sous forme de bulle spéculative ?

Avec 26% des nouveaux projets immobiliers au maroc  qui n’ont pas trouvé preneur, des problèmes de trésorerie et une baisse des prix, le marché immobilier marocain est en crise, mais c’est peut-être aussi une bulle spéculative qui est aussi en train d’éclater.

Aujourd’hui, seules les activités immobilières à Rabat et Casablanca perdurent, les gens « n’achetant plus » dans le reste du Royaume, c’est le constat fait il y a quelques temps par Chakib Bennani, l’un des vice-présidents de la Fédération nationale des promoteurs immobiliers (FNPI).

En termes de statistiques, avec 26% des nouveaux projets immobiliers au maroc qui n’ont pas trouvé preneur, c’est l’offre immobilière qui est désormais largement supérieure à la demande. Face à cela, les prix débutent à baisser, par exemple de 1,7% sur les prix des villas a vendre . Ce délai se traduit d’ailleurs également du côté des prêts hypothécaires avec le plus grand ralentissement enregistré depuis 2004.

Malgré_cela, en mettant cela en relation avec les besoins en logements sociaux, une demande  des biens immobiler : appartement, villa, Riad,  fonds de commerce, Des lots de terrain…toujours existante, on se rend compte que l’offre est supérieure à la demande, mais surtout pas adaptée à la demande avec les immobilier de  luxe au lieu de logement social. Le secteur immobilier marocain serait non pas en train de payer pour une quelconque crise immobilière, mais pur une bulle spéculative qui serait en train d’éclater.